Depuis ce jeudi matin, la maison du maire Antoine PARRA (PS) construite illégalement et sévèrement condamnée par le tribunal correctionnel de Perpignan, n’est que monticules de gravats.
À quarante-huit heures du délai imposé par la justice, le maire d’Argelès-sur-Mer n’a pas voulu s’engager dans une partie de bras de fer en Appel, comme l’y autorisait la loi pourtant.
C’est une décision de sagesse et d’apaisement qu’à pris Antoine PARRA, car une polémique désastreuse pour l’image de la commune était en train de faire rage sur les réseaux sociaux.
Mais l’élu n’en a pas pour autant terminé avec ses détracteurs. L’erreur serait d’ailleurs maintenant qu’il se place en position de victime, alors que c’est à lui seul qu’il doit cette condamnation pour avoir construit un immeuble en toute illégalité.
À suivre.