Nous nous en sommes déjà fait l’écho ici même, dans ces colonnes : la séance publique du conseil municipal qui s’est tenu en ouverture du festival Off Les Déferlantes, en soirée du jeudi 4 juillet, a été particulièrement houleuse…
Autre exemple : en réponse à Monsieur l‘intéri-Maire Antoine PARRA (LaREM), dans la décision 21, de représentation en justice de la commune, le docteur Jean-Patrice GAUTIER est (re)monté au créneau :
“Monsieur le maire, comme souvent vous vous arrangez avec la vérité…
Ici, à Argelès, dès le 10 juillet 2018, vous indiquiez dans la presse que nous faisions partie de l’Opposition.
Ici, à Argelès, vous avez confirmé ces propos encore très récemment lors du conseil municipal de mars 2019 au cours duquel vous avez affirmé, je vous cite “Que vous ne vouliez plus de nous et que vous ne nous faites plus confiance”.
Ici, à Argelès, sur votre blog vous écrivez que nous sommes un groupe minoritaire de dissidents de l’ancienne majorité.
Ici, à Argelès, vous nous traitez d’inutiles !
Mais, au Tribunal Administratif à Montpellier, le 6 juin dernier, par la voix de votre avocat, vous êtes venu affirmer le contraire devant le juge, vous êtes venu affirmer que nous sommes de votre majorité.
Si nous nous revendiquons d’une Majorité, c’est de celle qui a été élue dès le 1er tour des élections en 2014 avec Pierre AYLAGAS.
Vous vous moquez des Argelésiens qui vous ont élu, avec nous, sur notre liste, celle de Pierre AYLAGAS.
Oui, à ce jour, nous affirmons être en opposition totale avec ce que vous êtes, en opposition totale avec la politique que vous menez depuis 2018, après nous avoir écarté pour ce crime de lèse majesté : osez vous demander de démissionner après la condamnation qui vous a touché.
Pour conclure, si nous sommes allés devant le Tribunal Administratif de Montpellier c’est que vous nous y avez invité, dans un courrier en réponse à notre avocate le 11 mars dernier, vous écrivez :
« En l’absence de réponse de ma part avant le 27 avril 2019, naîtra une décision implicite de rejet que vous pourrez contester devant le Tribunal Administratif de Montpellier »…
Monsieur le maire, pour la première fois depuis très longtemps, nous vous avons écouté, et sur vos conseils, nous sommes allés devant le tribunal !”.