“La grève des policiers municipaux Argelésiens n’a que trop duré… La situation aujourd’hui est catastrophique, des préavis de grève s’accumulent sur le bureau du maire (NDLR, Antoine PARRA, PS), et du sous-préfet de l’arrondissement de Céret à quelques jours de grandes manifestations et l’arrivée des Juillettistes. A cela s’ajoute une ambiance des plus difficiles à vivre pour les policiers. Comment en est-on arrivé dans cette situation aujourd’hui irresponsable, situation où le maire s’est enfermé seul !

D’autant que les policiers municipaux demandent une reconnaissance prévue par la loi, et qui n’impactera que très peu le budget municipal. 
Le maire doit négocier ces revendications avec tous les policiers. Et que l’on en finisse, pour la sécurité et le bien être des Argelésiens”. 
Charles CAMPIGNA.