François Lietta (UMP), responsable départemental des Jeunes Populaires’66, communique :

“La Sécurité au PS : Un an d’échec, un an d’insécurité en forte hausse.

 

Aujourd’hui, tous les clignotants sont au rouge. Sur une période d’un an, d’août 2012 à juillet 2013, ce qui devrait baisser augmente et ce qui devrait progresser diminue ! Les cambriolages explosent (+9,3%), la grande criminalité prospère (+5,3%), les violences aux personnes ne cessent d’augmenter (+2,9%). A l’inverse, le taux d’élucidation et l’activité opérationnelle des forces de l’ordre régresse. Ces chiffres sont issues de l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses pénales (ONDRP) – un organe indépendant et respecté de tous. 

Nul ne peut donc contester l’explosion extrêmement préoccupante de la délinquance dans notre pays depuis l’élection de François Hollande.

Ces résultats sont la conséquence d’une politique de sécurité  qui ne marche pas et d’une politique de justice désastreuse qui ne cesse d’envoyer des signaux de laxisme. Les Français sont victimes au quotidien de cette délinquance galopante. Dans le département des Pyrénées-Orientales la hausse est de +8,7% .

Manuel Valls refuse d’endosser cet échec. Pire, il parle de « tromperie » quand on le met face à ses mauvais chiffres. L’idéologie de Mme Taubira, et son triptyque pénal : laxisme judiciaire, impunité institutionnelle et culture de l’excuse, a donc produit ses effets graves et inquiétants pour la sécurité de nos compatriotes. 

Les criminels, les délinquants ont donc parfaitement entendu le message gouvernemental : ils peuvent être plus violents, commettre plus de cambriolages, d’atteintes aux biens, sans risquer d’aller en prison, grâce à la future réforme pénale de François Hollande. Les députés Jacques Cresta, Ségolène Neuville et Pierre Aylagas soutiendront ils cette réforme ? La soutenir c’est en accepter les désastreuses conséquences pour les victimes et la population !”.