Décidément, certains osent tous et même l’impensable, l’inimaginable…

 

La magie de Noël cacherait-elle, pour certains, des méthodes plutôt mafieuses que féériques ? La question est posée.

Ce samedi 29 janvier, deux Perpignanais au-dessus de tout soupçon, auraient reçu des sms leur proposant comme suit : “Après treize années de présence sur le Marché de Noël, je vous propose de racheter mon fond de commerce (…)”.

Coût de fond de commerce virtuel, pour le moins : 46 000 €uros. Il s’agit d’un chalet qui propose pendant les fêtes de fin d’année (deux semaines), la vente de bouffe et d’accessoires traditionnels.

Un autre Perpignanais, qui était lui employé sur  le quai Vauban, à Perpignan donc, aurait reçu lui aussi une proposition similaire : “Fond de commerce à céder ; 30 000 €uros ttc. Chalet avec produits laitiers et accessoires”. S’agissant du chalet, l’offre ne précise pas si la structure est certifiée et garantie “bois de Laponie, made in Rovaniemi” !

Des fonds de commerces vendus sur le quai à l’insu de la Municipalité ?… c’est juste hallucinant. Et, ce qui est également formellement interdit : le paiement est demandé en espèces sonnantes et trébuchantes ! A quelques semaines de Pâques, y’a quelque chose qui cloche, comme un refrain d’escroquerie… Souvenez-vous, nous nous en étions fait écho dans nos colonnes : on avait déjà eu des exposants sur ce Marché de Noël qui étaient partis à la cloche de bois…