Depuis le d̩but de la crise sanitaire du COVID-19 (coronavirus), il ne se passe pas un jour sans que des courriels Рcomme celui ci-dessous Рatterrissent dans nos bǫtes-aux-lettres ̩lectroniques (BAL).

Sous couvert d’un mail officiel (qui est bien évidemment un faux) – aux couleurs d’Orange, du Crédit-Agricole, de la Société Générale, de La Poste, d’Amazon… – ou d’un particulier bien souvent un nom qui ne nous est pas inconnu (comme ci-dessous), etc.-etc., on nous annonce un bel héritage, ou on nous demande de secourir le signataire du faux-mèl retenu aux fins fonds de l’Afrique ou trépassé à l’autre bout du monde en Océanie, par exemple.

Le plus surprenant, c’est que le moindre pingouin, lui identifiable, qui va chercher son pain le matin ou sa part quotidienne de fruits & légumes, risque de se mettre à découvert (grâce à une amende de 135€), alors que ces escrocs du Net continuent de sévir jour après jour en toute sérénité et impunité, visiblement…