La nuit dernière, suite à une plainte déposée par une jeune fille qui venait de se faire violer dans la station, les forces de l’ordre se sont rendues dans tous les établissements nocturnes – clubs et discothèques – pour diffuser les portraits robots de deux jeunes individus… En vain.

Selon une source proche de l’enquête, les deux agresseurs sexuels présumés sont toujours en liberté à cette heure ci.