Récemment, les élus de Sorède chargés du suivi de l’Agenda 21 se sont retrouvés, en mairie, salle du Conseil municipal, autour de Frédérique Marescassier, 5ème adjointe déléguée au Développement Durable, pour faire le bilan.

L’Agenda 21 est un plan d’action pour le 21ème siècle, qui concerne plus particulièrement les domaines de la Santé, du Logement, de la Pollution, de la Gestion des déchets, de l’eau, de l’agriculture…

Il faut rappeler que la commune de Sorède – avec celle de Cabestany près de Perpignan, et du Pays Coeur d’Hérault/ Clermontais/ Lodévois aux portes de Montpellier –  est pionnière en la matière, puisqu’elle fait partie des trois premiers “Agenda 21” adoptés historiquement par des collectivités locales en Languedoc-Roussillon et labellisés “Agenda 21 local”, au titre de l’appel à la reconnaissance lancé en 2010 par le ministère en charge du Développement Durable…

Hier après-midi, les élus sorédiens concernés, autour de leur maire Yves Porteix, ont confronté leurs contributions à l’Agenda 21 local, dans les secteurs du “fonctionnement interne” (mairie), de la “gouvernance”, du “patrimoine”, de “l’aménagement et des transports”, de “l’économie” et de “l’attractivité du territoire”.

Il s’agissait, à partir des “points forts” et des “points à améliorer” recensés lors d’étapes précédentes, de dresser un tableau précis de la situation donnée et vécue.

Au terme d’un calendrier mis en place le 30 juillet 2009, les participants devaient produire un diagnostic global avant de poursuivre l’action engagée.

Naturellement, tous ces échanges qui ont donc porté essentiellement sur l’appropriation de la démarche de l’Agenda 21 local et l’articulation des projets aux échelles et compétences territoriales, viennent s’ajouter aux contributions citoyennes diverses.

A l’issue de ces travaux, Frédérique Marescassier a félicité les acteurs de “cette rencontre qui va servir à beaucoup de chose, tant les axes abordés et les réponses apportées aux questions soulevées vont nous permettre d’aller encore plus de l’avant. Nous avons respecté le timing impulsé en 2009, nous avons abordé et exploré tous les sujets, même les plus délicats et contraignants, cela nous permet aujourd’hui de faire une analyse objective de la situation locale”.