Désormais, la société britannique de capital et d’investissement Alchemy possède plus de 50% des parts du troisième casinotier français, JOA.
Exit donc le fonds d’investissement britannique Bridgepoint qui possédait 55% du capital de JOA jusqu’au 31 octobre dernier encore, et l’opérateur canadien Loto-Quebec qui en avait 35%.
Rappelons que le groupe JOA est très mal en point puisque endetté (avant ce changement de propriétaire) à plus de 120 millions d’euros !
Le repreneur s’est engagé à prendre en charge la dette…
Loto-Québec aurait perdu 71 millions d’euros dans cette affaire.
Rappelons que JOA possède une vingtaine d’établissements de jeux dans l’hexagone, dont ceux d’Argelès-sur-Mer, du Boulou, de Canet-en-Roussillon et de Saint-Cyprien.