L’Association Union des Savoir-Faire communique :

“Suite à la parution de notre dernier article sur ce site ouillade.eu, nous tenons à remercier les différents partis politiques et candidats qui nous ont contactés ces dernières semaines dans le cadre de la valorisation des métiers d’art. Ils se sont montrés très sensibles aux problématiques de note département et à l’importance de prendre en considération le développement local, les circuits courts, l’ancrage territorial des artisans et producteurs locaux. 

Nous reprendrons individuellement contact eux, indépendamment des résultats des élections municipales, pour commencer à travailler sur le concept d’une SCIC. Société Coopérative d’Intérêt Collectif.

Cependant, nous constatons un certain mutisme de la part de plusieurs partis politiques que nous ne citerons pas car notre action est apolitique.

L’année 2014 est au cÅ“ur de l’actualité économique. Aussi, nous sommes étonnés par le silence « assourdissant » de certaines étiquettes politiques et institutions qui connaissent bien le problème de notre économie locale, de l’Économie Sociale et Solidaire alors qu’elles prétendent défendre une idéologie économique. On peut alors se poser la question suivante : s’agit-il de clientélisme ou tout simplement de la recherche ou de renouvellement de mandats électoraux ?

Il y a quelques jours, nous vous informions de notre ambition visant à transformer l’association Union des Savoir-Faire en SCIC Société Coopérative d’intérêt Collectif.

Entreprendre ensemble pour un territoire

La SCIC est un terme économique peut-être inconnu de certains candidats et institutions. C’est pourquoi nous souhaitons vous présenter très schématiquement cette forme d’activité économique qui a pour objectif de répondre à des besoins d’intérêts convergents représentant un intérêt majeur pour ceux qui veulent entreprendre autrement au service des territoires. Cette forme économique, relativement jeune, est définie par la loi 2001-624 du 17 juillet 2001 et par le décret 2002-241 du 1er février 2002. Elle est représentée par différents collèges : bénéficiaires, collectivités, élus, bénévoles, professionnels…

Elle se distingue par sa mission d’utilité publique, son multisociétariat ouvert aux collectivités publiques, élues et par l’impossibilité d’enrichissement de ses sociétaires. Comme toutes les coopératives, elle fonctionne sur les principes « un associé = 1 voix ».

Nous réitérerons notre appel à candidatures une fois les élections municipales passées et tiendrons informés les lecteurs de l’évolution de notre action au fil des semaines et des mois”.

Retrouvez l’Union des Savoir-Faire sur le site : http://union-des-savoir-faire.asso.st

 

– et Coralie Pailhes, présidente de l’association Union des Savoir-Faire, tél : 06 61 53 94 60 – uniondessavoirfaire@orange.fr