La cerise de Céret… vue par l’artiste Michèle Vert-Nibet, ancien maire de Le Perthus.

Suite à notre article paru hier dans ces mêmes colonnes, concernant le prix des fruits et légumes vendus sur le sol roussillonnais, un lecteur nous apporte l’éclairage suivant :

“Un exemple de production réellement locale – poivrons, courgettes, abricots, pêches… – aurait été plus pertinent, je trouve, pour traiter des prix pratiqués localement. Très peu de producteurs roussillonnais produisent et vendent de la salade les mois d’été. Il faut aussi certainement distinguer les producteurs et les petits commerçants qui se ravitaillent au marché Saint-Charles à des prix supérieurs à ceux offerts par les centrales d’achats des hypers et supermarchés. Il est donc logique, dans ce cas là, que la salade soit plus chère chez le petit commerçant du coin sur ce type de produit (…)”.

NDLR. Nous avons hélas, constaté la même différence d’écarts de prix qu’avec la salade laitue sur des produits “typiquement locaux” tels que la cerise (en juin) et l’abricot (au mois d’août)… Toujours dans les zones géographiques concernées par notre enquête : Le Barcarès, Canet-en-Roussillon, Saint-Cyprien, Argelès-sur-Mer, Saint-André/ Laroque-des-Albères, Port-Vendres et Banyuls-sur-Mer.