Le constat est sans appel : de Paris à Toulouse, en passant par Bordeaux, Nîmes et autres lieux de la République française, le mouvement des Gilets jaunes a pris depuis trois samedis un autre tournant, une autre tournure, qui s’apparente désormais davantage à une revanche, voire une vengeance électorale, qu’à des manifestations ayant pour socle...