Désirant écrire sous pseudonyme, l’auteure retrace l’histoire d’un homme qui, par le biais de son parcours de vie, ne supporte pas les femmes, ne peut s’empêcher de leur vouloir du mal. Pourquoi ? Ce petit livre de 60 pages répond à la question.

Nasty V. , habitant dans la région du Capcir dans les Pyrénées-Orientales, aurait commencé à écrire ce petit roman grâce aux témoignages de femmes victimes de cet homme, et suite à l’annonce de la mort réelle de ce dernier.
En voici les caractéristiques :Serial Lover mémoires d’un sale type, Nasty V. : (Pyrénées-Orientales)
Ce roman est une fiction ou pas, deux êtres que rien ne rapprochait vont mêler leur destin jusqu’à ce que mort s’en suive. A ce jeu dangereux, un seul gagnant… à la grâce de Dieu.
Après lecture, vous ne décrypterez pas de la même manière les belles lectures romantiques qui nous laissent grandir dans l’idée d’un amour désintéressé, pur… vous vous interrogerez sur votre responsabilité à transmettre à vos enfants l’image édulcorée du Prince charmant et de la Princesse.
Il y a des Princes pas charmants, doués en rhétorique qui jettent les Princesses dans les abysses. Le mal rôde…
Prix TTC : 10,00 €
ISBN : 9791031001166
Pages : 68
Format : 14,5 X 22,5
Interview de Nasty V.
Pourquoi ce roman, Serial lover ?
“J’ai  croisé  beaucoup  de  femmes,  à  mon  goût,  beaucoup trop,  meurtries  et
définitivement traumatisées sentimentalement et toutes avaient à peu près le même
discours et le même parcours : victimes d’un séducteur pervers narcissique.
Souvent indétectable aux yeux de la société et même de l’entourage, le pernicieux personnage opère discrètement sans regret ni remord, et est totalement dépourvu d’empathie. Il anéantit la colonne vertébrale de la personnalité de ses victimes, de manière faussement candide qu’il en est difficilement condamnable par la
loi.
J’ai écouté leur témoignage respectif, puisque ces femmes se trouvaient dans
mon cercle amical direct. Pourtant, toutes, victimes du même homme mais toutes
différentes,  et  parfois  diamétralement  opposées,  un  seul  dénominateur  commun :
victime du même « sale type ».
Cela  m’a  intrigué,   je  l’ai  moi  même  approchée  et  j’ai  pu  obtenir  ses  confidences, son amitiéet un temps, son respect.
C’est  pour  réhabiliter  ces  femmes  que  l’on  juge  trop  vite  pensant  que  nous
avons toutes notre libre arbitre et que si nous ne l’utilisons pas, c’est par une volonté
farouche de se placer en victime. Malheureusement, en tant qu’auteure, je n’ai pas
eu  à  romancer  exagérément  cette  nouvelle.  Il  existe  des  pièges  mortels  invisibles
pour les femmes. La camisole psychique que dépose insidieusement leur bourreau
est bel et bien une réalité.
Une mauvaise rencontre peut changer le cours d’une vie.
Je crois que l’épilogue de mon roman en est un virulent témoignage.
Le déclic de l’écriture s’est produit en juin 2014 lorsque j’ai appris la mort accidentelle du personnage principal dont je me suis inspirée”.