Selon l’origine des témoignages, depuis son arrivée il y a quelques mois à la présidence du club de rugby perpignanais, l’Usap, François Rivière, homme d’affaires qui a fait fortune dans la gestion de parkings (société Epolia), aurait déjà déboursé environ 4 millions d’€ pour relancer l’équipe mythique catalane qui, demain, samedi 3 mai 2014, se déplace en Auvergne pour affronter Clermont-Ferrand dans le cadre de la dernière journée du Top 14…

“Cela fait huit mois que je suis arrivé, déclare François Rivière sous la plume de Arnaud Coudry, dans Le Figaro daté de ce vendredi 2 mai 2014 – “Perpignan, l’effondrement de la maison catalane”, en page 11, rubrique Sport – j’ai investi beaucoup d’argent. Cela a apporté un souffle nouveau et un confort financier au club. Mais, au-delà de ça, il y avait d’autres mots dont souffrait le club sur le plan de la pertinence de son engagement sportif, de la condition physique des joueurs, de l’organisation auprès des partenaires. Quand je suis arrivé, tous les paramètres de la saison étaient engagés. Je n’ai pas assisté impuissant à cette situation mais la marge de manÅ“uvre était étroite (…)”.

A son arrivée, selon Le Figaro, François Rivière a injecté 1,2 M€ pour relancer l’Usap, puis entre 2 et 3 M€ pour éponger les dettes : “En cause, la gestion calamiteuse  de l’ancien président, Paul Goze (…)”, désormais à la tête de la Ligue nationale de rugby (LNR).