Les colistiers d’ouverture de la liste de Louis Aliot, Perpignan l’Avenir en grand, d’anciens de l’UMP – André Bonet, Marie Bach, Charles Pons et Patricia Fourquet, Marion Bravo (Mouvement Libres de Valérie Pécresse), Frédéric Guillaumon (UDF) , Rémi Génis (Parti Radical), Anaïs Sabatini (Les Jeunes Populaires), Sébastien Ménard (Debout la France, membre du comité de « Oui au Pays Catalan ») Marie-Christine Marchesi (UDI) et Jacques Palacin (Parti Socialiste) – répondent, avec prière d’insérer sous ce titre, à la tribune de Christine Gavalda-Moulenat « Louis Aliot est prêt à tout pour gagner… même à enterrer Perpignan ! »…

 

 

“Le véritable front républicain, c’est nous !

Christine Gavalda-Moulenat, dont le rôle de présidente des LR’66 se limite à la production de communiqués de presse fielleux et dont la notoriété ne dépassera jamais Salses-le-Château, trépigne et enrage de n’être pas invitée à la télé ! On comprend pourquoi la télévision l’ignore. Du coup elle se lâche une fois de plus, éructe et écrit n’importe quoi !
Il est loin le temps du RPR ou de l’UDF et de ses ténors gaullistes, chiraquiens, sarkozistes ou centristes qui accumulaient les succès électoraux : Paul Alduy, Claude Barate, Jacques Farran, Paul Blanc, Aimé Fa, Arlette Franco, et plus proches de nous, Jean-Charles Moriconi, François Calvet, Daniel Mach et François Lietta.
Aux élections européennes de 2019, Christine Gavalda, aura réussi à faire sombrer les Républicains, après une campagne chaotique, au-dessous de la barre des 10% ; 7,66% très précisément, là où le candidat soutenu par Louis Aliot dépassait les 30%. Du jamais vu depuis la création du RPR en 1976 !

Plus grave encore, jamais dans l’histoire de Perpignan, un maire sortant n’aura été si sévèrement sanctionné au premier tour. 18% contre le double à Louis Aliot, le candidat d’ouverture. Un fiasco que n’aura pas manqué de rappeler l’ensemble des médias nationaux le soir du 15 mars dernier.

Voilà le premier bilan désastreux de Mme Gavalda depuis son élection en septembre 2018 à la tête des Républicains. Ajoutons que les LR, par ce genre de provocation inutile, peuvent obérer les inévitables regroupements et alliances locales qui devront se faire pour l’avenir du département et de la région à moins que les LR ne veuillent devenir les supplétifs de la gauche dans les collectivités locales.

Nous, signataires de cette tribune, dont la seule ambition est l’avenir de Perpignan, avons accepté avec devoir, honneur et fierté la main tendue de Louis Aliot qui nous a proposé de rejoindre sa liste d’ouverture.

Vous n’avez pas su prendre cette main tendue et vous en assumerez toutes les conséquences.
Vous seriez mieux inspirée de prendre exemple sur Josiane Cabanas qui a le courage d’appeler à voter Louis Aliot ou Olivier Amiel qui réfute cette mascarade de votre pseudo front républicain auquel plus personne ne croit, et qui n’est qu’une tentative désespérée de préserver vos petits privilèges entre amis.
Perpignan mérite mieux.

Vous avez perdu toute légitimité à donner des leçons ! Ce n’est pas pour rien qu’aux dernières élections départementales Jean-Marc Pujol a préféré Isabelle de Noëll-Marchesan à vous sur le canton du Moulin-à-vent. Quant à votre défaite aux élections législatives de 2017, dont vous ne vous êtes apparemment toujours pas remise, elle nourrit chez vous une rancœur continuelle qui explique votre agressivité.
Respectez les électeurs, arrêtez de nous insulter et d’insulter l’avenir.

Madame Gavalda, la fin ne saurait justifier tous les moyens ! C’est vous qui êtes comptable du chômage à Perpignan, de la décrépitude du centre-ville, du désastre de l’insécurité. Les électeurs le savent et vous l’ont fait savoir dès le premier tour.

Nous ne sommes pas des extrémistes. Le véritable Front Républicain c’est nous !”.