Ce sont les derniers grands rendez-vous de la 31e édition du festival Jazzèbre, et le menu est particulièrement alléchant et dense…

• Dès MERCREDI 16 octobre, c’est À L’UNIVERSITÉ qu’il sera possible d ‘écouter les lauréats du concours « JAZZ EN COURS » au sein du Conservatoire, le saxophoniste SYLVAIN GUERRIER et le pianiste LOIS SALGUEIRO.

• Le VENDREDI 18 s’annonce très intense avec trois concerts de haute volée dont l’apothéose sera la première nationale de la nouvelle création de l’ORCHESTRE NATIONAL DE JAZZ dirigé par FRED MAURIN. Le PALAIS DES CONGRÈS recevra tout d’abord le magnifique projet du violoniste JACKY MOLARD « MYCELIUM » qui allie avec subtilité musiques bretonnes et jazz. Le projet qui le suivra sur scène a été ovationné dans de nombreuses et festivals de l’hexagone, il s’agit du « CRI DU CAIRE », porté par l’émotion de la voix unique d’un chanteur slammer égyptien, chantre de la révolution au Caire et exilé désormais. Le trio qui l’entoure invite le trompettiste stratosphérique ERIK TRUFFAZ. Un concert d’une rare intensité… Pour achever cette soirée majuscule, Jazzèbre aura l’honneur d’accueillir en première nationale la nouvelle création de l’Orchestre National de Jazz intitulée « Rituels » avant son concert parisien. Dix huit musiciennes et musiciens, voix et cordes, cuivres et percussions, des compositions riches, le rendez vous s’annonce magistral.

• Le SAMEDI 19, Jazzèbre est À CÉRET, avec à 17h, le concert d’un grand ensemble des meilleurs élèves des CONSERVATOIRES DE LA RÉGION dirigé par FRED PALLEM, renversant directeur du Sacre du Tympan. En soirée, le jazz antillais festif et percussif à souhait sera sur la même scène avec le sextet du batteur SONNY TROUPÉ, déjà écouté à Perpignan aux côtés de Lisa Simone.

• Le concert final du festival se déroule comme depuis quelques années au THÉÂTRE DE L ‘ARCHIPEL avec un hommage sensible au maître argentin ASTOR PIAZZOLA, compositeur révolutionnaire qui amena le tango vers la musique classique et le jazz. L’accordéoniste DANIEL MILLE, complice à la scène de Jean Louis Trintignant, s’est entouré d’un contrebassiste et d’un trio de violoncelles virtuoses pour cet hommage d’une rare élégance. Tout simplement bouleversant…

 

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