« Ce n’est pas la fin de Heetch » déclarent les fondateurs suite à la décision rendue ce jour par le tribunal correctionnel de Paris.

Les fondateurs de Heetch, Teddy PELLERIN et Mathieu JACOB, ont aujourd’hui déclaré : « Heetch n’est pas fini. Nous prenons acte de la décision, nous contestons les motivations du tribunal et allons analyser le jugement avec nos avocats pour décider ou non de faire appel. Dans un premier temps, pour se conformer au jugement, nous décidons, de notre propre initiative, de suspendre provisoirement l’application. »

Cette décision est grave pour Heetch, pour ses 50 salariés et pour toute sa communauté d’utilisateurs.

L’économie du partage est en plein essor comme l’a rappelé le tribunal dans ses motivations, et son avenir sera radieux, nous en restons convaincus. La commission Européenne encourage les Etats-membres à créer un seuil annuel unique pour distinguer amateurs des professionnels. Les Etats-Unis, la Chine, l’Australie, la Belgique et de nombreux autres pays ont déjà franchi le pas.

Heetch croit en ce modèle qui s’inscrit pleinement dans l’économie du partage et qui répond avant tout aux attentes et besoins de la jeunesse. Heetch permet chaque semaine à plus de 100 000 jeunes se déplacer la nuit, notamment entre villes et banlieues, en toute sécurité. Qui va se préoccuper de ces jeunes, de ces banlieues qui ont besoin d’initiatives répondant à leurs besoins et attentes ?

En attendant et compte-tenu de la gravité de la situation, Heetch appelle toutes les personnes se sentant concernées à se faire entendre des candidats à l’élection présidentielle. Il est temps de clarifier l’environnement juridique pour libérer les initiatives et permettre à de futurs projets de se développer, tout en créant de l’emploi et du lien social, et ce au-delà même du cas de Heetch.

En 2017, on avance ou on recule ?

Rejoignez le mouvement #GenerationHeetch dès samedi 12h sur www.generationheetch.com

Heetch en chiffres c’est : 500 000 utilisateurs actifs – 30 000 conducteurs occasionnels – 500 000 trajets mensuels – 50 salariés en France – Actionnariat 100% français.