Allusion à la chute présidentielle et ministérielle dans les derniers sondages.

Avertissement aux Marcheurs de la République, qui pourraient très vite se retrouver à reculons, car les oubliés de la République ce sont actuellement les petites entreprises.

Une situation inexcusable, car sans petits patrons il n’y aurait plus de démocratie.

Tant que les consciences s’accommoderont d’autant d’injustices, le monde agricole et artisanale continuera de s’écrouler.

De nombreuses entreprises n’accèdent plus à l’endettement, alors que ces petites entreprises contribuent à l’emploi d’un nombre considérable de salariés.

Comment en sommes-nous arrivés à un tel niveau d’irresponsabilité ?

Comment est-il possible que les élus de la République aient laissé à ce point la situation se détériorer en donnant un tel pouvoir aux banquiers ?

L’économie pourrait pourtant redevenir plus simple et plus fluide.

Il suffirait pour cela que le monde bancaire fasse plus d’efforts, que les choses aillent mieux et plus vite sans surfacturations d’agios.

Si les banquiers font le contraire, c’est que nous leurs avons laissé le pouvoir et les clés de la Maison France.

Chaque Français est noté selon des critères occultes, les scorings et dysfonctionnements bancaires ne sont plus encadrés. Chaque banque fonctionne à sa manière de façon malsaine et sans avoir de comptes à rendre.

« Le civismes économiques est nécessaire, ces gens font tout le contraire !… »

Ce qui est le plus affligeant, c’est bien que dans tous ces établissements bancaires, nous ne rencontrons que des directeurs courtois et du personnel sympathique. Le problème se situe en haut de la pyramide, où il est inacceptable que le législateur ait confié les clés de la démocratie à ce monde d’incapables.

Avoir besoin d’argent pour le fonctionnement d’une entreprise est devenu douteux.
Comment en sommes-nous arrivés à un tel niveau de rupture qui mette à ce point la démocratie en danger ?

« Il y a une réorganisation nécessaire et des lois à envisager pour rendre ce monde ultra professionnel !… »

Les enjeux sont le timing, la souveraineté, le travail de veille et la donnée! Car si elle n’est pas transformée en changements profonds, la France continuera à aller dans le mur.

Attention mesdames, messieurs les Marcheurs de la République en marche, si dans le financement des petites entreprises rien ne change immédiatement c’est que déjà, vous êtes en train de reculer !…”.

Hubert LEVAUFRE
Dirigeant d’entreprises à Argelès-sur-Mer et Saint-André.