Clotilde Font-Gavalda, colistière de Louis Aliot (FN).

Clotilde Font-Gavalda, colistière de Louis Aliot (FN) dans l’équipe Perpignan Ensemble (Rassemblement Bleu Marine), réagit aux incroyables propos de Fabrice Rallo, vice-président de l’UDI’66, qui sur son Facebook a qualifié “la Société Générale de banque des fachos (…)”, au lendemain de la venue de la présidente du FN, Marine Le Pen, par ailleurs députée européenne, dans la loge de ladite banque pour assister à la rencontre H-Cup entre l’USAP et le Munster Rugby…

Clotilde Font-Gavalda nous communique :

«Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait » , disait Michel Audiard.

Le même Fabrice Rallo, qui en 2008 avait déshonoré par une parodie, la mémoire des 7 victimes du crash aérien d’un Airbus A320 au large de Canet-en-Roussillon (c’était le 27 novembre2008,) s’autorise aujourd’hui à diffamer gravement sur Facebook les clients de la Société Générale et les électeurs du Front National.

Fin novembre, j’ai moi-même était salie par ce triste sire.

Je n’ai pas dénié répondre à sa provocation qui m’avait presque amusée tant elle était grotesque.

Aujourd’hui, la gravité de l’insulte discrédite définitivement ce personnage sans limite et ne prête plus à sourire !

Nous espérons que ces propos outranciers seront le point final de la carrière politique de cet individu et que le paysage politique local sera définitivement débarrassé de ses sarcasmes.

Sachez Monsieur « le chargé de mission en charge de communication et promotion économique », que j’avais moi aussi un grand père républicain espagnol et que je n’ai aucune leçon à recevoir de vous.

Quand vous aurez acquis la maturité nécessaire, et que vous cesserez vos enfantillages, le climat politique perpignanais s’en trouvera assaini.

J’espère seulement que vous n’avez pas un statut de fonctionnaire, sinon vos diffamations s’en trouveraient encore aggravées.

Ce serait dommage, car votre avenir politique est déjà bien compromis.

Un hebdomadaire catalan vous attribuait en 2008 un « humour à chier » nous attendons avec impatience votre prochaine bourde”.