Jean-Marc Pujol : « Nous devons nous rassembler pour aider François Fillon à réussir son « projet de redressement national »

Le 1er tour de la « primaire » de la Droite et du Centre-droit a été un réel succès. Chacun, d’un bout à l’autre de l’échiquier politique, le reconnait, et les organisateurs du scrutin, quels qu’ils soient, s’en félicitent tous dans une belle unanimité.

Sur les faits, concrètement, je constate que c’est chez nous, dans le département des P-O, avec la ville de Perpignan, que Nicolas Sarkozy réalise son meilleur score, 31,9%, de toute la nouvelle Grande Région. Même s’il arrive second, derrière François Fillon, l’ancien président de la République – Que j’ai toujours soutenu, en 2007, 2012 et aujourd’hui encore –  résiste plutôt bien sur notre territoire.

L’avenir, à la suite des résultats d’hier, nous impose de nous rassembler sans tergiverser derrière le candidat le mieux placé pour défendre nos couleurs, François Fillon. Les électrices et les électeurs qui l’ont choisi lors de ce 1er tour nous ont envoyé un signal fort en le mettant nettement en tête.

Pour ma part, je voterai pour lui dimanche prochain, lors du second tour de cette « primaire ». Il est désormais le candidat naturel, il porte une légitimité incontestable, son programme est au final très proche de celui de Nicolas Sarkozy, il porte les mêmes idées, les mêmes valeurs, les mêmes ambitions pour réformer notre pays et pour en finir une bonne fois pour toutes avec le quinquennat désastreux de François Hollande.

Je rappellerai qu’en septembre 2012, j’avais déjà apporté mon soutien à François Fillon, lors du débat pour l’élection à la présidence de l’UMP. J’avais pris publiquement position en sa faveur dans le duel qui l’opposait alors à Jean-François Copé. J’avais déclaré alors, mot pour mot, vouloir m’engager aux côtés d’un « homme intègre et courageux », un homme auquel je reconnaissais la vertu d’avoir avoué que « la France est en faillite »… François Fillon n’a pas changé dans son analyse, aidons-le à réussir son « projet de redressement national » opposé à la « politique laxiste de gauche ». Son engagement responsable fait de lui un « vrai rempart contre les partis populistes qui au final ne règleront rien ».