Fondateur, entr’autre, du blog L’Olivier (Qui se veut défenseur de la grande cause des petits commerçants perpignanais…), Bruno Delmas, ancien collaborateur de cabinet de feu Christian Bourquin (PS) lorsqu’il était président du Conseil général des P-O, ancien journaliste, ancien candidat à la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Perpignan et des P-O lors des dernières élections consulaires sur le calendrier, proche collaborateur de l’ancien ministre Besson, aujourd’hui très impliqué dans le retour de l’ex-Président de la République Nicolas Sarkozy sur la scène politique française, a entrepris la tournée des médias-amis pour rappeler son existence sur l’échiquier politique perpignanais, où il entend bien jouer un rôle de premier plan.

Bruno Delmas veut localement s’imposer comme le Premier des Sarkozistes. Telle est son ambition. Et, connaissant l’individu, il s’en donnera les moyens !

Vendredi matin il a rencontré, dans les salons de l’Hôtel de l’Agglo, à Perpignan, l’ancienne députée de la 4ème circonscription des P-O, Mme Jacqueline Irles, maire UMP de Villeneuve-de-la-Raho et vice-présidente de la Communauté d’Agglomération Perpignan-Méditerranée…

Le midi, bien en vue et bien attablé au restaurant très couru Le Café Vienne, place Arago, à Perpignan, il a déjeuné avec Me Pierre-Louis Bassole, une personnalité perpignanaise très en cour dans les instances nationales de l’UMP, où il a siégé dans un passé récent encore, et très proche du patron départemental incontesté de l’UMP’66, François Calvet, sénateur-maire de Le Soler et 1er vice-président de l’Agglo.

Bref, Bruno Delmas est partout, sur tous les fronts roussillonnais de l’UMP en tout cas, où il entend bien faire avancer ses pions “pour renouveler et rajeunir, ainsi que redynamiser” les pouvoirs locaux à l’occasion des échéances électorales qui se profilent à l’horizon : les cantonales, en mars 2015, et les régionales, en suivant au mois de décembre de la même année.

Il l’a dit, répété, sous forme d’avertissement : désormais il faudra compter avec lui ! Investi à fond dans l’UMP, il s’est déjà entouré des centristes du MoDEM (Christine Espert) et de CDC (Convergence Démocratique de Catalogne/ Jordi Vera), que l’UMP’66 avait abandonné sur le bord de la route lors des dernières élections municipales.