Combien de maires et de présidents d’intercommunalités, dans le département des Pyrénées-Orientales, ne pourront plus se représenter, en 2020, après l’exécution de trois mandats consécutifs, selon le projet de loi présenté hier par le ministre de la Justice et Garde des Sceaux, François BAYROU, portant sur la moralisation de la vie politique ?

Selon nos sources, une quarantaine de maires – et non des moindres – seraient concernés, et encore faudra-t-il connaître avec davantage de précisions la taille démographique des communes concernées par cette Loi Bayrou. Les observateurs pensent que celle-ci pourrait être appliquée dans les communes à partir de 3 500 habitants.

Du coup, ne pourraient donc plus se représenter, parmi nos personnalités locales : André BASCOU (à Rivesaltes), Jean-Paul BATLLE (Bompas), Jean-Paul BILLES (Pézilla-la-Rivière), Paul BLANC (Sournia), François CALVET (Le Soler), Daniel MACH (Pollestres), Francis MANENT (Saint-André), René OLIVE (Thuir), Yves PORTEIX (Sorède), José PUIG (Claira), Alexandre REYNAL (Amélie-les-Bains/ Palalda), Pierre ROIG (Sainte-Marie-la-Mer), Alain TORRENT (Céret), Jean VILA (Cabestany)…