Carles PUIGDEMONT, président autoproclamé d’une République catalane de plus en plus virtuelle, serait-il en passe, aux yeux d’une certaine opinion publique, de perdre toute crédibilité ?

Accusé de sédition, de rébellion et de malversation par le parquet espagnol, le président catalan Carles PUIGDEMONT, destitué avant-hier par Madrid, est apparu par surprise ce lundi 30 octobre 2017… à Bruxelles, en Belgique vous avez bien lu. Il aurait gagné le Plat Pays après avoir rejoint incognito Marseille par la route, dit-on.

Question logique : à quoi ça sert de proclamer un Etat indépendant, si c’est pour prendre ensuite la poudre d’escampette et se tirer vivre ailleurs ? Ce n’est pas sympa pour le peuple sur place. Pas sympa non plus pour les “cousins” roussillonnais qui avaient changé les draps, dressé la table et mis le couvert, entre autres services compris et gratos pour l’accueillir en lui déroulant le tapis rouge, digne d’un chef… d’Etat !

Lu sur les réseaux sociaux made in P-O : “Je me souviens qu’il y avait un texte qui parlait de l’alliance du Surréalisme catalan avec l’Ecole belge de MAGRITTE… De vrais artistes, mais visiblement sans talent”. Dur, dur !

Une authentique histoire belge, comme on les aime et comme nous en raffolons of course ! Même vue du Québec.

 

Un million “d’Unionistes” espagnols ont manifesté dimanche 29 octobre 2017, à Barcelone, pour dire “NO” à une République catalane et demander l’emprisonnement de Carles PUIGDEMONT.