Il est grands temps que la campagne électorale pour le renouvellement de l’équipe dirigeante de la CCI  de Perpignan et des P-O se termine pour le candidat-populiste Bruno Delmas qui fait vraiment du n’importe quoi. Incontestablement, cette caricature ambulante de l’écurie “Alduyiste” confond tout et n’importe quoi ! Il mélange politique et économie avec un tel ridicule que cela en devient grotesque et pitoyable. Ses proches, par exemple, devraient lui rappeler que les domaines de l’insécurité, du stationnement et de la circulation relèvent des compétences d’un élu, le 1er magistrat en l’occurrence. Un patron de CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie), quel qu’il soit, n’a aucun pouvoir pour améliorer la sécurité du petit-commerce en ville et encore moins pour mettre en place un plan de circulation. Bref, on se demande quelles sont les raisons qui poussent Bruno Delmas à se présenter pour briguer une fonction dont, visiblement, il ignore totalement les responsabilités. Sous ses airs d’individu (bien) ordinaire, Bruno Delmas reste un personnage sulfureux, “simplement éblouissant”, pouvant mettre en péril l’équilibre économique d’une institution (la CCI), en jouant une “lamentapple” partie de poker. Celui qui nous promet “un souffle nouveau” est en réalité un ringard qui se prend pour le poumon de l’économie locale alors qu’il n’a en fait à son actif qu’une accumulation de défaites et trahisons, (en)trainant avec lui une réputation peu glorieuse.